Multi instrumentiste délicat, Johannes aime habiller l’intime de symphonies de poche.
Quelque part entre Jay-Jay Johanson et Klaus Nomi, Johannes jongle avec les strates de voix et d’instruments (violon, guitares, claviers) pour édifier son palais de verre.
La douceur acoustique des cordes y côtoie les aspérités des machines, le dénuement flirte avec l’orchestral, le fragile avec l’effervescent.
Une mise à nu sensible, sur le fil.
08.11 BREST (29) La Carène